Chère Marie Barbey Chappuis, j’use de mon vélo, mais chaque jour je m’interroge comment il est possible que la Ville et les TPG puissent laisser l’arrêt Cornavin K des bus 6/9/10/19 sous le pont si épouvantable: sale, glauque et étroit ? Une telle situation serait-elle envisageable si ces bus montaient rive gauche… jamais est ma réponse ! Indigne de Genève, non ? Pouvez-vous faire qqch. Aucun des autres passages sous voie ne sont aussi glauque que celui-ci (Voltaire, passage des Alpes ou rue du Valais)